CEDRIC KUNGA: SON PREMIER CLIP

Cédric Kunga, « l’enfance du cœur » à l’ouvrage !
Cédric Kunga est beau quand il chante. Et aussi beau… parce qu’il chante !
Explications.
Voilà un grand garçon (1m95) qui a la musique dans le sang. Dès qu’il prend un micro, son visage s’allume, son regard s’illumine et la générosité de son émotion se répand. Il possède une voix douce qui a la géographie de son pays, la Suisse : c’est une voix qui monte sans problème dans les hauteurs et qui se révèle très chaleureuse dans le médium, en plaine !
Cédric est aussi beau, parce qu’il chante ! En effet, le 29 novembre 2002, lorsqu’il a été élu Mister Suisse romande, c’est certainement parce qu’il a interprété – au pied levé et a capella – un extrait de « Lucie », la chanson de Pascal Obispo, qu’il a conquis le jury du concours et le public. Sa voix, ce jour-là, a été le petit avantage en plus qui lui a donné la victoire.
Oui, sa voix, c’est sa voie. Cédric Kunga est né le 12 mars 1983. D’origine congolaise, il est Suisse de passeport et a passé toute son enfance dans le canton de Fribourg. Ses parents, Yvonne et Adélard, sont très fiers de l’aîné de leurs quatre enfants (Cédric a trois sœurs, Oby, Fanny et Irène).
Aujourd’hui, le beau et grand garçon dépose la véritable « première pierre » de l’édifice d’une carrière qu’on lui souhaite durable et auréolée de succès. Il sort un premier single, « L’enfance du cœur », extrait d’un album en préparation pour 2007.
Cette ballade, écrite et composée par Jihad Kahawjy, donne le ton et permet de découvrir ce nouvel artiste qu’est Cédric Kunga, l’un des rares chanteurs d’origine africaine à s’aventurer dans la variété à tendance pop rock.
Notons encore que ce single, qui comprend une autre chanson (« Ne crois pas ») a été masterisé au très célèbre studio Sterling Sound, à New York.

Aujourd’hui, le cœur est le maître mot de cette belle histoire.. « L’enfance du cœur », espérons-le, touchera le vôtre. Dans ce but, Cédric met le sien à l’ouvrage pour vous transmettre ses émotions. Avec cette pensée de Léopold Sédar Senghor comme guide : « Seul le rythme provoque le court-circuit poétique et transforme le cuivre en or, la parole en verbe »…
Pascal Pellegrino

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